Comme chaque début d’année, les nouveaux chiffres concernant les populations légales de toutes les collectivités territoriales et circonscriptions administratives sont parus. Par cette publication synthétique et didactique, l’Observatoire vous fournit des données de référence, en complément des autres publications et notamment des chiffres-clés par commune mis à jour en fin d’année dernière.

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• Alfortville,
• Boissy-Saint-Léger,
• Bonneuil-sur-Marne,
• Chennevières-sur-Marne,
• Créteil,
• La Queue-en-Brie,
• Le Plessis-Trévise,
• Limeil-Brévannes,
• Mandres-les-Roses,
• Marolles-en-Brie,
• Noiseau,
• Ormesson-sur-Marne,
• Périgny-sur-Yerres,
• Santeny,
• Sucy-en-Brie,
• Villecresnes.

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La crise énergétique mondiale a mis sous les projecteurs des enjeux structurels relatifs à l’exploitation incontrôlée des ressources, au changement climatique, aux pollutions…

Cette ère, qualifiée par certains d’anthropocène, induit certaines injonctions à la sobriété : consommer de manière raisonnée, privilégier des énergies renouvelables et réduire les émissions qui découlent de notre consommation. Ces ambitions se retrouvent dans la Plan Climat Air Energie Territorial de GPSEA.

S’inscrivant dans un cycle de travail de l’Observatoire visant à objectiver et à anticiper les vulnérabilités environnementales et les sobriétés, cette publication fournit des informations précieuses pour comprendre cette thématique importante pour le territoire d’aujourd’hui et de demain.

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Une carte, un SIG, une analyse spatiale… autant de termes qui ne sont pas inconnus mais qui ne sont pas limpides pour la plupart d’entre nous. L’Observatoire profite de la rentrée pour lancer un nouveau type de publications pédagogiques qui visent à expliquer les outils qui se cachent derrière les études et les missions menées au quotidien. Elles viendront régulièrement compléter les études thématiques. Alors, à vos claviers, à vos stylos, nous vous ouvrons les dessous de l’Observatoire et vous invitons à lire les 3 publications de septembre.

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Ce flash éco vise à donner une vue d’ensemble de la filière BTP présente sur le territoire de GPSEA, laquelle regroupe une multitude d’activités. L’INSEE la définit comme étant « une activité de mise en œuvre ou d’installation sur le chantier du client et qui concerne aussi bien les travaux neufs que la rénovation, la préparation ou la maintenance ».

Aujourd’hui la voiture est le mode de déplacement principal pour les habitants de GPSEA. 75% des ménages détiennent au moins un véhicule et 47 % des actifs utilisent leur voiture pour aller travailler. Seulement, l’exigence d’amélioration de la qualité de l’air, la raréfaction des énergies fossiles et leur coût, et la quête d’une mobilité plus fluide, entraînent depuis quelques années des changements significatifs. Cette publication a pour objectif de présenter une synthèse de l’existant et les facteurs d’évolution pour les usages de demain.

Les enjeux liés à l’inclusion numérique sont nombreux : accès à l’emploi, maintien des liens sociaux, continuité pédagogique pour les élèves et étudiants, accès aux droits, etc. La non-maîtrise du numérique constitue d’ailleurs bien souvent un facteur aggravant de précarité sociale.

Cette publication vise à objectiver et apprécier la fragilité numérique sur le territoire de GPSEA. Elle se base sur une cartographie des zones potentielles de vulnérabilité numérique, complétée par une enquête qualitative auprès d’habitants bénéficiant d’un accompagnement numérique. Ce document aborde également les actions de médiation numérique menées par de nombreux acteurs du territoire. Elle vient compléter une première publication sur l’offre numérique du territoire de GPSEA, diffusée en septembre 2021.

Réalisé par un groupe d’étudiants en Master 1 à l’Université Paris Est Créteil (UPEC), ce rapport d’enquête sur l’inclusion numérique vient compléter la publication de mars 2022 portant sur le même sujet. Il se base sur des entretiens réalisés auprès d’usagers sollicitant un accompagnement au numérique sur le territoire de GPSEA. Ce rapport propose donc une approche qualitative de l’inclusion numérique, qui permet d’apprécier les ressentis, perceptions et motivations de ces usagers vis-à-vis du numérique.

Le début d’année est le moment idoine pour se doter de repères et d’outils pour appréhender le territoire. C’est ce que vous propose l’Observatoire avec cette double publication.

D’une part, le portrait de territoire actualisé regroupe de manière synthétique les chiffres-clés sur les différentes thématiques de GPSEA. En quelques pages, il permet de comprendre les réalités et les spécificités de notre territoire.

D’autre part, la publication sur les populations légales livrent les nouveaux chiffres en la matière, tout en apportant des précisions méthodologiques importantes pour bien comprendre les modes de comptage et les points de vigilance à avoir sur d’autres chiffres parus dans la presse.

Les travaux de l’Observatoire permettent, brique par brique, de mieux connaître le territoire de Grand Paris Sud Est Avenir. En complément des précédentes thématiques traitées, la publication du mois de juin dresse un panorama de l’utilisation des différents moyens de transports sur la territoire.

Nous vous invitons à prendre connaissance, en quelques chiffres-clés, de l’utilisation très répandue de la voiture, de l’importance des transports collectifs pour les plus urbains et de l’usage limité mais croissant du vélo.

Cette publication de l’Observatoire vous livre une première approche du logement sur GPSEA.
L’analyse de ces données éclaire sur la diversité des communes qui composent le territoire, mais aussi sur ses spécificités par rapport au reste de la Métropole du Grand Paris. Si elle ne peut résumer à elle-seule les facteurs qui conduisent un habitant à rester ou à arriver sur un territoire, l’offre de logements est un fort facteur d’attractivité.

La publication de l’Observatoire du mois d’avril s’intéresse à une compétence-clé de Grand Paris Sud Est Avenir : l’aménagement du territoire. Elle s’applique à produire une synthèse des 55 opérations d’aménagement territoriales, conduites au côté des villes, mais aussi à livrer une approche pédagogique du principal outil d’aménagement, la ZAC.

Le Mode d’Occupation du Sol (MOS) est un dispositif unique d’observation du territoire qui s’est imposé comme un outil incontournable des politiques publiques d’aménagement. Créé par l’Institut Paris Région (IPR), il permet de rendre compte de l’intégralité de l’occupation du sol de la région Île-de-France et de son évolution sur une période de 35 ans (de 1982 à 2017) et de manière exhaustive. Créé par reconnaissance visuelle – photo – interprétation – à partir d’une photographie aérienne, il découpe finement l’espace en ilots selon une nomenclature à plusieurs niveaux permettant une définition à plusieurs degrés de précision.